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15 Qualités d’un Bon Coach en milieu de travail – CSP

Pensez aux personnes de votre vie qui ont reconnu votre potentiel et utilisé leurs talents pour vous aider à découvrir et à façonner le vôtre. Lorsqu’un entraîneur comme celui-ci est présent sur le lieu de travail, son influence peut avoir un impact profond sur le développement professionnel de l’ensemble de l’équipe ainsi que des individus qui en font partie. La plupart des gens préfèrent travailler sous la direction d’un manager qui se comporte comme un coach plutôt que sous celle qui dicte et dirige d’en haut.

Le coaching de vos employés est une étape importante dans le développement d’une culture interne qui soutient l’expérience client. Parfois, le coaching peut se faire « à la volée” lorsque des opportunités d’apprentissage se présentent, mais les séances de coaching formelles offrent un grand avantage aux employés, qui ont la possibilité de poser des questions, de mettre en pratique leurs compétences et de se fixer des objectifs par rapport auxquels ils peuvent mesurer leurs progrès au fil du temps.

CSP croit fermement au pouvoir d’un bon coach, nous sommes donc là pour vous offrir un peu de coaching nous-mêmes sur la façon de guider efficacement le développement de votre équipe.

Les mesures d’un Bon entraîneur

coach

Il n’y a pas de plan précis pour un bon entraîneur, car chaque entraîneur aura ses propres forces et faiblesses. Cependant, il y a certaines qualités distinctes que les bons entraîneurs ont en commun.

En lisant cette liste, demandez-vous comment vous mesurez chacune de ces qualités et identifiez les domaines qui pourraient utiliser le plus votre attention. Si vous avez reçu vous-même un coaching et que vous pensez que cela pourrait être plus efficace, cette liste pourrait vous donner une fenêtre sur une conversation constructive avec votre mentor pour améliorer la relation.

1. Un bon entraîneur est conscient de lui-même.
Comprendre soi-même, son style de coaching, et comment il est perçu et reçu par les employés, est une première étape essentielle pour devenir un coach précieux et efficace. La conscience de soi est un voyage en soi, nous en écrirons donc plus à ce sujet dans les semaines à venir.

2. Un bon coach porte des problèmes spécifiques et bien définis à l’attention des autres.
Le fait d’être peu précis sur les domaines problématiques, ou de ne pas les aborder avec les parties appropriées, suggère une réticence à apporter un changement positif et un manque de leadership.

3. Un bon coach se prépare pour chaque session avec des informations, des exemples, des idées, etc., et est prêt pour la discussion.
Les séances de coaching doivent être programmées à l’avance, et le coach doit avoir un agenda solide pour chaque séance qui expose la mission de la journée. Sans structure, la séance de coaching peut se transformer en une conversation décontractée sans substance ni direction réelle.

4. Un bon coach traite les individus comme des partenaires dans l’organisation, encourageant leur contribution et leur faisant confiance pour effectuer des missions.
Certains entraîneurs sont fans de « tough love », tandis que d’autres sont plus indulgents, mais ce que tous les bons entraîneurs ont en commun, c’est le respect de leurs mentorés. Le mépris et le ressentiment n’ont pas leur place dans une relation de coaching efficace et ne font qu’engendrer d’autres conflits.

5. Un bon coach connaît les forces et les faiblesses de ses employés.
Tout comme l’entraîneur d’une équipe sportive, il sait exploiter les forces individuelles des employés pour en tirer le meilleur parti et obtenir la plus grande productivité de l’équipe, collectivement et individuellement.

6. Un bon coach précise clairement les attentes au début de la séance de coaching.
L’entraîneur et l’employé doivent tous deux avoir le sentiment que cette réunion a un but distinct, et doivent s’entendre sur ce qu’est ce but, pour que la session se déroule sans heurts.

7. Un bon entraîneur laisse suffisamment de temps pour discuter adéquatement des problèmes et des préoccupations.
Bloquer suffisamment de temps pour une session solide, plutôt que de le presser et de se précipiter, montre du respect pour le temps de l’employé et lui permet de participer de manière plus réfléchie.

8. Un bon coach cherche des idées et fait de ces idées une partie de la solution.
Prenez-le comme un drapeau rouge si un entraîneur n’est pas disposé à entendre des idées, des suggestions ou des pensées d’autres membres de l’équipe. Un coach est là pour servir les employés, pas pour que les employés servent son ego.

9. Un bon coach écoute les autres et essaie de comprendre leurs points de vue.
Plutôt que d’attribuer un blâme ou de formuler des critiques inutiles, il permet à l’employé d’expliquer les choses de l’autre côté, ce qui peut souvent révéler la racine d’un malentendu ou d’une mauvaise communication.

10. Un bon entraîneur exprime son encouragement et son optimisme lorsque des questions faciles et difficiles sont discutées.
Parfois, un problème peut être l’éléphant dans la pièce dont personne ne veut parler. C’est le travail de l’entraîneur de rendre ce problème moins intimidant en modélisant une attitude constructive qui rassemble l’équipe pour y remédier.

11. Un bon coach demande directement un engagement envers des solutions qui ont été convenues.
Les entraîneurs ne peuvent pas être optimistes quant à leurs attentes. Si l’employé n’est pas tenu responsable de son amélioration, il devient une perte de temps pour tout le monde de continuer à entraîner.

12. Un bon coach fournit les ressources, l’autorité, la formation et le soutien nécessaires aux autres pour mettre en œuvre des solutions.
Le coaching ne se termine pas à la fin de la session. Il appartient au coach de suivre toute orientation supplémentaire dont l’employé pourrait avoir besoin pour aller de l’avant.

13. Un bon coach offre du soutien et de l’aide à ceux qu’il entraîne pour les aider à mettre en œuvre le changement et à atteindre les objectifs souhaités.
Le développement professionnel est un travail d’équipe. Il n’est généralement pas sage de simplement libérer l’employé après une session et de s’attendre à ce qu’il réalise tout seul.

14. Un bon entraîneur suit les séances de coaching en temps opportun.
Il est trop facile pour le coaching de tomber dans l’échelle de priorité parmi toutes les autres exigences des tâches quotidiennes d’un manager. À la fin de chaque séance de coaching, c’est une bonne idée d’aller de l’avant et de planifier la suivante, et de tenir cet engagement le moment venu.

15. Lorsque les solutions ne se présentent pas comme prévu, un bon coach aide de manière proactive à définir des actions alternatives.
Si au début l’employé ne réussit pas, il se peut qu’il y ait eu un malentendu ou que la solution initiale soit une inadéquation pour cet employé en particulier. Un bon entraîneur est ouvert à avoir un plan de sauvegarde (ou deux).

Le thème qui sous-tend bon nombre de ces qualités est le suivant: Lorsque le coaching se fait dans un esprit de respect mutuel, les récompenses et les avantages pour vos employés et vos clients sont infinis. Ce qui est important, c’est d’établir une relation de coaching positive entre le coach et les employés qui intègre les forces de toutes les parties.

En savoir plus: Quelles sont les différences entre la formation et le coaching ?

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